Étude de cas : Lorintt v. Boda, 2014 BCCA

  • 02 avril 2015
  • Heather Hogan

Note : Il s’agit de la version abrĂ©gĂ©e d’un article qui a paru au site Web de Whaley Estate Litigation.

Le 5 mars 2015, la Cour suprĂŞme du Canada a rejetĂ©, avec dĂ©pens, la demande d’autorisation d’appel de la dĂ©cision de la Cour d’appel de la Colombie-Britannique dans l’affaire Lorintt v. Boda. Dans cette affaire, la Cour d’appel a rejetĂ© l’appel de la dĂ©cision rendue par le juge siĂ©geant en cabinet qui avait conclu que la prĂ©somption de fiducie rĂ©sultoire devait ĂŞtre rĂ©futĂ©e, et que la relation entre le père-donateur et le fils-donataire ne donnait pas naissance Ă  la possibilitĂ© d’abus d’influence.

Les avocats et avocates se spĂ©cialisant en litiges en matière de succession ou en droit des personnes aĂ®nĂ©es peuvent se rĂ©fĂ©rer Ă  la dĂ©cision dans l’affaire Lorintt comme guide afin de rĂ©futer la prĂ©somption d’abus d’influence et de fiducie rĂ©sultoire dans le cadre du transfert de biens rĂ©els. Les juristes pourraient aussi trouver utile de tenir compte de la dĂ©marche suivie dans l’argumentation Ă©crite de l’avocat en l’espèce, car c’est grâce Ă  la preuve Ă©tablie par celle-ci que les arguments Ă  l’appui d’une prĂ©somption de fiducie rĂ©sultoire et d’abus d’influence ont Ă©tĂ© rejetĂ©s.

Voyez l'article en anglais pour la version complète (uniquement en anglais).

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