Son blogue a remporté de multiples prix et son fil Twitter a été décrit comme une lecture incontournable pour les juristes canadiens.

L'expansion est une bonne chose, nous a-t-on toujours dit, à condition bien sûr qu'il s'agisse de votre entreprise et non de votre tour de taille. En fait, tous nos instincts nous interdisent de nous opposer à la croissance. Cependant, Carolynne Burkholder-James parle avec deux juristes selon lesquels « mieux vaut planifier l'expansion et la contrôler que tout simplement attendre sans rien faire qu'elle ait lieu ».

Si la taille du personnel est la seule source de pouvoir, il ne fait alors aucun doute que les grands cabinets tiennent la dragée haute aux juristes exerçant seuls. Et pourtant, selon James Careless, il est également vrai que les petits cabinets peuvent utiliser la technologie pour compenser leur manque de personnel et combler l'écart avec les grands cabinets.

Exercer en solo peut s’avérer l’épreuve d’une vie, dans tous les sens du terme « épreuve ». Alors que dans un cabinet où plusieurs juristes travaillent il y aura probablement toujours quelqu’un avec qui échanger des idées le cas échéant, le praticien autonome ne peut se fier qu’à lui-même… ou peut-être pas… Des pairs sont bien là pour apporter un soutien. James Careless présente certaines des options.

Les dossiers d’un cabinet d’avocats sont pris en otage par un logiciel malveillant dans le but d’obtenir une rançon. C’était le fil conducteur d’un intéressant épisode de l’émission The Good Wife cette année, mais ce phénomène se produit en réalité plus fréquemment qu’on ne le pense, même au sein de cabinets de taille modeste et auprès de juristes travaillant à leur propre compte ici au Canada. James Careless expose le problème et discute des solutions possibles.

Les nouvelles technologies et la nature changeante des milieux de travail font en sorte que les juristes exerçant seuls ou dans de petits cabinets ont une multitude de choix quant à l’établissement d’un bureau : bureau à domicile, bureau partagé avec d’autres professionnels et bureau virtuel, auquel on peut accéder à partir d’à peu près n’importe où. Ce qui importe, c’est de trouver celui qui vous convient le mieux, explique Carolynne Burkholder-James.

Nous savons tous que des conditions égales facilitent la concurrence entre pairs. Mais saviez-vous que certaines technologies modernes peuvent considérablement aider ceux qui sont désavantagés au départ? Voici certains outils techniques qui peuvent aider David à se hausser plus près du niveau de Goliath.

Lorsque nous entendons parler de « sous-traitance », la plupart d’entre nous comprennent « délocalisation », soit l’envoi du travail hors du pays, là où il peut être réalisé à moindres frais. Certes cela peut-être le cas, mais le concept est plus vaste. La sous-traitance, au fond, c’est confier le travail à la personne la mieux placée pour le faire et, en tant que telle, elle peut être un outil très efficace pour les juristes exerçant en petits cabinets ou seuls.

L’été provoque-t-il un ralentissement du rythme des activités de votre cabinet juridique? James Careless a de bonnes idées pour tirer le meilleur parti de ce temps libre en simplifiant votre pratique et en économisant de l’argent grâce à la réduction de votre production de déchets et à l’adoption de nouvelles technologies.

Que vous soyez un nouveau juriste dans un petit cabinet ou un avocat chevronné qui vient d’ouvrir le sien, il est des choses que vous devriez savoir au sujet de la fiscalité; choses qui ne vous ont pas nécessairement été enseignées à la faculté ou dans un cabinet de plus grande taille. James Careless offre des conseils pour satisfaire le percepteur dès sa première visite.