Le cadre réglementaire canadien sur la protection de la vie privée se caractérise par une démarche fondée sur des principes plutôt que sur des règles précises, laissant aux organisations la responsabilité de leur mise en œuvre, et par un modèle d’ombudsman qui fait des recommandations plutôt que d’imposer des peines. Ce caractère distinctif s’estompe pour laisser place à un autre modèle canadien.